Catégories : Femmes fessées Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 8 ans
Auteur : Bijanus
Catherine remplace au pied levé son patron pour aller donner des cours dans une école de commerce. Contre toute attente, elle tombe sous l’emprise d’une élève qui lui demande de faire des choses de plus en plus déconcertantes en classe.
Rien de bien spécial durant la semaine ; le patron me pose bien la question de savoir comment cela se passe à l’école de commerce. Mes réponses confuses, ma voix bafouillante lui mettent la puce à l’oreille ; ses yeux se plissent, un sourire en coin déforme sa bouche : le salopard a flairé la situation scabreuse. Je ne serais pas surprise qu’il appelle sa copine la directrice pour savoir ce qui se passe ; elle sera bien en mal de lui répondre.
Le jour J est là, le choix de la tenue s’impose. Plus de doute comme la semaine passée, juste une envie : celle d’obéir aux caprices de Suzie. Maintenant, il faut trouver quelque chose qui satisfasse la demoiselle sans pour autant être vraiment trop, trop… enfin vous voyez.
Vous vous en doutez, ma garde-robe a de quoi satisfaire toutes les lubies de la belle et de sa copine, aussi mon choix est multiple. Une jupe blanche plus courte de quelques centimètres et au tissu aussi fin et élastique, si ce n’est plus, que la jaune se retrouve sur mon lit. Bientôt un bustier couleur fuchsia sans bretelles le rejoint ; je l’aime bien, ce bustier : il est étroit et sa matière élastique et brillante met bien en valeur mes seins. Pour habiller quand même un peu les épaules, je prévois un boléro blanc à manches longues qui se noue sous la poitrine ; ça fera moins « sortie nocturne ».
Le temps étant quand même encore frais le matin, je sors une paire de bas couleur chair donnant un aspect satiné à mes jambes et finissant comme les précédents par de jolies dentelles. Comme elles ont apprécié mon slip boxer taille haute, j’en trouve un en dentelle noire qui fera l’affaire. Je réfléchis pour la suite ; je n’ai pas l’habitude de mettre ce bustier avec un soutien-gorge. Il est trop serré et fin pour que cela soit sympa. Je fouille un moment mon tiroir à soutifs sans en trouver un qui pourrait aller ; et puis zut ! Avec le boléro, ça devrait passer sans soutif. Mon Dieu, il est déjà bien tard… Je me précipite sur les vêtements pour les enfiler à la va-vite ; certains semblent avoir un peu rétréci au lavage, à moins que cela soit autre chose…
Me voilà partie. Le temps couvert malgré la promesse d’un chaud soleil par monsieur Météo me fait prendre mon imperméable ; ce n’est peut-être pas plus mal pour traverser les couloirs de l’école. Comme d’habitude, le bruit de mes escarpins résonne dans le couloir. Alors que je suis presque arrivée à ma salle de cours, la voix de la directrice m’appelle.
— Bonjour, Catherine. Alors, ces cours, maintenant que vous avez pris un peu de recul ?
— Ma foi, je découvre encore un peu plus chaque jour,
Les deux mains encombrées, je ne peux même pas lui en tendre une.
— Oui, c’est bien normal. Pas de problèmes avec les élèves ?
— Non… non. Quelques-unes sont surprenantes, mais…
Je me mords la langue d’avoir été si spontanée dans ma réponse.
— Surprenantes ?
Son sourcil se lève d’un air interrogateur et un sourire en coin s’affiche sur son visage.
— Oui… C’est-à-dire… par leur…
C’est à ce moment-là que la ceinture de mon imperméable juge que c’est le bon moment pour se détacher. Les deux bouts tombent le long de mes jambes, et ma poitrine comprimée repousse les pans de l’imperméable qui s’ouvre en grand. Mes mains prises m’empêchent d’essayer de le refermer au cas où j’en aurais eu le désir.
Les yeux de la directrice s’ouvrent en grand ; ses sourcils marquent son étonnement. Sa tête me jauge de bas en haut, et un nouveau sourire apparaît. Je baisse la mienne pour voir le spectacle que j’offre, et ce que je vois ne me rassure pas.
La conduite assise dans la voiture a fait quelques dégâts : ma jupe s’est retroussée, ce qui lui donne l’air d’être une mini plus que courte en ne m’arrivant qu’au ras de l’entrejambe. Plus haut, ce n’est guère mieux : mon bustier a glissé vers le bas, découvrant une grande partie du haut de ma poitrine. Je suis tétanisée de me montrer ainsi à ses yeux.
— Par leur ?
Son sourire n’a pas quitté son visage, et bizarrement elle semble se délecter de mon embarras.
— Par leurs… euh… demandes.
— Ah oui ? Leurs demandes ?
Ses yeux continuent à me détailler des pieds à la tête, augmentant encore plus mon malaise.
— Enfin, questions, je veux dire.
Je donnerais n’importe quoi pour me libérer les mains et m’arranger un peu.
— Ah ? Et quel genre de demandes ou de questions ?
J’ai de plus en plus l’impression qu’elle prend un plaisir fou à me cuisiner ainsi tout en voyant à quel point je suis confuse et gênée.
— Je sais plus trop, mais… elles sont originales parfois et… Enfin, je ne suis pas habituée peut-être ?
— Habituée ?
— Euh… oui, c’est ça.
— Bien, peut-être ; mais je vois que vous savez faire face : c’est bien. J’avais totalement confiance après ce que m’a dit de vous votre patron et sa sœur, Anne-Marie.
— Ah, sa sœur ? Merci, dis-je d’une voix encore plus tremblante à l’évocation d’Anne-Marie.
Du malaise, je passe à la panique en imaginant le genre de confidence qu’aurait pu faire la sœur du patron. Ceci doit sauter aux yeux, car la directrice semble aux anges.
— Oui, je la connais très bien aussi… Bien ; je vais vous laisser rejoindre votre cours. Je vois que vous avez tous les atouts pour captiver l’attention de nos élèves.
— J’espère déclencher quelques vocations pour l’immobilier, dis-je, ne sachant pas trop comment prendre ces derniers mots.
Tête basse, les mains toujours aussi encombrées, je fonce vers ma salle, qui heureusement n’est juste qu’à quelques pas. Sans jeter le moindre coup d’œil aux élèves, je décharge mes mains sur le bureau. Le dos tourné à la classe, je tire sur ma jupe et remonte mon bustier. Juste après, une voix bien familière m’arrive aux oreilles.
— Bonjour !
Je me retourne et trouve mes deux donzelles campées derrière moi. Suzie, comme la directrice quelques minutes avant, me regarde des pieds à la tête. Son visage exprime la même satisfaction que la semaine passée.
— Bien.
Elle a juste dit ce mot et elles sont parties à leurs places habituelles. Moi aussi, j’ai maintenant mes habitudes et je vais ouvrir la fenêtre à côté d’elles. En retournant vers mon bureau, j’enlève mon imperméable ; des murmures remplissent la salle. Ils s’amplifient encore quand je leur fais face. Mon bustier me fait encore des misères, il recommence à glisser dangereusement vers le bas. Décidément, j’ai dû faire du gras pendant l’hiver car, comme la jupe la semaine passée, il est bien rempli, me boudine un peu et glisse d’autant plus facilement à chacun de mes gestes.
Je présente en quelques mots le thème du jour et me retourne vers le mur pour abaisser l’écran. Cette saleté est toujours aussi dure à descendre, même plus. J’ai beaucoup de mal à le débloquer. Les deux bras levés, je force de tout mon poids ; je sens mon haut glisser sur mes seins une fois de plus : il faudra que je pense à le remonter une fois ce foutu écran en place.
Ça y est, il cède enfin mais reste coriace à la descente ; une fois en bas, il ne veut pas se bloquer. Je m’accroupis un instant pour essayer de forcer plus facilement, mais finalement je me relève et, pliée en deux, je donne de grands à-coups vers le bas plusieurs fois, mais sans succès ; il persiste à remonter tout seul. J’entends alors un brouhaha remplir la classe. Tous les sons qui me reviennent aux oreilles disent la même chose :
— Mate sa jupe, on voit sont cul !
— P’tain, sa jupe va exploser.
La voix de Marion m’arrive plus fort que les autres.
— Elle a un cul de ouf ! Mate-moi ça : sa jupe se débine vers le haut… En plus, on voit tout son slip dessous.
— J’ai jamais vu un cul aussi cambré et rebondi ; r’garde ça : elle la jupe au milieu des fesses maintenant ! ajoute Suzie.
C’est alors que je réalise que c’est de moi que toute la classe parle, et pas seulement mes deux habituées. Je panique et envoie un coup encore plus fort vers le bas. Bon Dieu, dans quelle folie me suis-je mise avec mes pulsions incontrôlables… Il doit y avoir un Dieu pour les profs en mauvaise posture car l’écran se bloque enfin. Je me redresse en un éclair et je tire ma jupe vers le bas en me retournant pour essayer de reprendre la situation en main. Mais le tumulte ne cesse pas vraiment : des rires fusent, des coups de coudes sont envoyés aux voisins. L’espace d’une seconde, je pense que c’est la vision de ma paire de fesses qui continue à amuser la foule, mais j’entends Marion :
— Regarde, on voit ses gros nichons.
Je ne peux que constater les dégâts : mes seins sont presque à nu. Mes deux mamelles repoussées vers le haut par la pression du bustier forment une sorte de grosse paire de fesses ; mais un cran plus haut que celles de mon autre face, mes larges aréoles apparaissent en partie au-dessus. Mon haut persiste à vouloir se replier sur mon ventre. On a l’impression qu’il suffirait que je respire un peu fort pour voir ma poitrine exploser en dehors. Prenant l’air aussi détaché que possible, je le remonte. J’essaie de refermer au mieux mon boléro en me dirigeant vers mon ordinateur sous les rires masqués des filles et les yeux agrandis des quelques garçons présents. Alors que j’appuie pour faire débuter le Powerpoint, Suzie murmure :
— Je suis sûre que ça l’excite, cette vieille salope, de nous montrer son cul.
Je sens à l’état de mon entrejambe qu’elle a malheureusement raison.
Mon exposé démarre ; je réduis mes gestes au minimum pour éviter tout nouvel accident. Prise par le sujet, j’oublie parfois et mes bras s’agitent pour montrer un point précis à l’écran. Dès que je lève la main, le résultat est immédiat et les rires et messes basses couvrent mes explications. Je me précipite alors pour tirer d’une main et essayer de refermer mon boléro de l’autre, mais peine perdue : celui-ci s’ouvre comme les pétales d’une rose dès que je le relâche.
Malheureusement, les regards appuyés et les paroles murmurées m’échauffent de plus en plus les sens. Suzie fait de nouveau un bruit pour attirer mon attention ; elle fait le geste d’écarter sa chemise. Elle n’apprécie pas mon insistance à jouer sur mon caraco ; de toute façon, il ne veut pas tenir fermé. Je tire machinalement sur le nœud qu’il fait sous mes seins ; la pression sous ma poitrine se relâche, et les deux pans du boléro sont définitivement repoussés sur le côté. Ma poitrine difficilement contenue par le bustier est offerte comme dans un écrin.
Maintenant, chaque murmure ou réaction de la classe liés à mon déshabillage intempestif m’électrise tout le corps. Ma voix se fait de plus en plus hésitante alors que le s a n g afflue sur mes tempes et dans des zones beaucoup plus intimes. Certains me demandent des explications m’obligeant à me pencher sur la table, offrant une vue immanquable sur mon décolleté ; bien sûr, la plupart font exprès car les rires fusent peu après.
— Regarde la tête qu’elle fait : ça l’excite, cette vieille cochonne, elle a fait exprès de se faire mater ses gros nichons.
— Vieille peut-être, mais elle me met le feu au cul ! répond Marion.
— Je suis sûre que sa chatte est encore plus trempée que la tienne et la mienne réunies… ricane Suzie.
Suzie voit juste ; elle me connaît de mieux en mieux. Arrive l’habituel exercice de fin de cours ; je vais avoir une demi-heure tranquille, mais je suis trop excitée pour espérer arriver à calmer mes pulsions.
Je distribue l’exercice, et sans attendre l’ordre de ma belle Asiatique je m’assieds sur le bureau jambes serrées, jupe tirée. Mes cours à la main, j’essaie de masquer mon excitation en faisant semblant d’être absorbée par ma lecture.
Le bruit sec d’une règle qui heurte une table me tire de ma lecture : Suzie, bien sûr. Nouvelle exigence, nouvelle obéissance à venir. Ses mains, comme la semaine passée, font un signe d’écartement ; j’obtempère. Je n’attendais que ça, cette petite garce le sait bien.
La tête toujours plongée dans mon texte, mes cuisses s’écartent lentement, de la largeur de ma main, mais pas assez. Nouveau bruit de règle : un nouveau geste, plus vif, me rappelle à l’ordre. Mes pieds se décollent et s’éloignent, mes cuisses s’écartent d’elles-mêmes. Maintenant, c’est bien plus de vingt centimètres qui séparent mes deux genoux. Sous la tension, ma jupe se retrousse mais je ne fais rien pour la contrarier. Je reste plongée dans mon document en prenant un air concentré.
Comme tout à l’heure, les élèves dans l’axe de mon bureau ricanent, jouent des coudes et se déhanchent le cou pour mieux voir.
— On travaille par groupe de deux ? demande Suzie.
— Oui, oui, comme d’habitude, dis-je sans lever la tête.
Ma jupe a glissé jusqu’au ras de mon ventre arrondi qui bloque toute nouvelle ascension, mais c’est largement suffisant : mon entrejambe est à l’air. La grande partie du haut de mes bas est apparente. Les commentaires fusent de toute part à voix basse, pas tous audibles, mais certains si. Les plus gras mettent une fois de plus le feu entre mes cuisses ; je sens mon sexe se liquéfier : mon jus intime coule à profusion, couvre le haut de mes cuisses, détrempe mon boxer.
— R’garde ça, elle mouille comme folle ! Mate comme ça brille en haut d’ses cuisses !
Rien n’échappe à Suzie, décidément.
— Défais ton jean, poursuit Suzie.
— Mmmh…
Sans se faire prier, je vois les mains de Marion passer sous la table, suivies peu après par la main droite de Suzie. Pas besoin d’être télépathe pour savoir où va cette main, encore moins quand Marion pousse un petit cri en se mordant la lèvre pour ne pas en faire plus. Ses yeux riboulent de plus en plus dans leur orbite alors que la main de Suzie s’active sous la table.
Comme j’attire toute l’attention de la classe, personne ne remarque leur petit jeu. Pourtant, les crispations des mains de Marion sur la table montrent qu’elle est en train de prendre son pied. La sirène de fin de cours met fin à son plaisir, et au mien par la même occasion ; je me remets sur mes pieds, réajuste ma jupe. Comme si c’était encore utile, Suzie me lance :
— On a trouvé.
— Bien. On fera la correction la prochaine fois ; je jette un œil à votre travail.
— Voilà.
Suzie, ses yeux plantés dans les miens, me tend une feuille quasi blanche.
— Bien, bien ; c’est ça, dis-je en la lui rendant et en fuyant son regard.
Je me retourne vers mon bureau pour ranger mes affaires ; les bruits de chaises que l’on pousse remplissent la salle. Les élèves s’en vont, mais bien sûr deux restent à proximité de moi. Une fois la classe vide, Suzie dit dans mon dos :
— Dans cinq minutes aux toilettes, celles du bout, près de l’escalier.
— …
— Compris ?
Je hoche simplement la tête pour montrer que le message est bien reçu et accepté. Les filles parties, je traîne dans la classe ; au point où j’en suis, je ne peux plus reculer maintenant. Tout mon corps ne demande qu’à devenir le jouet de cette diablesse, mon sexe en feu ne me permet pas d’être lucide, de me ressaisir et de revenir sur terre.
Je sors, les bras toujours aussi chargés ; je tourne à droite pour aller où Suzie et Marion m’attendent sans aucun doute. Comble de malchance, je tombe encore sur la directrice, seule encore à traîner dans les couloirs. Je baisse la tête en marchant d’un pas vif, ce qui fait encore plus résonner le bruit de mes talons. Elle a toujours ce sourire bizarre quand elle me croise.
— Vous allez bien, Catherine ? Votre visage est bien rouge…
— La… la chaleur, dans la salle, sous le soleil : c’est étouffant.
— Ah oui, nous n’avons pas les moyens d’installer la climatisation malheureusement.
— Ce n’est pas grave ; au revoir !
Je file sans me retourner pour bien montrer que je suis pressée. Arrivée au bout du couloir, j’entre dans les toilettes en poussant l’immense porte très large. Personne. Elles sont petites, pourtant. Au fond, deux portes pour chaque WC ; à droite, deux lavabos et à gauche deux autres portes de WC. J’entends alors dans mon dos :
— Nous t’attendions, dit Suzie en refermant la lourde porte.
Elles s’étaient installées derrière celle-ci et la porte me cachait leur présence. Je reste muette, ne sachant quoi dire ; j’ai une soudaine envie de partir, de fuir, mais mon bas-ventre veut tout le contraire.
— Va au chiotte du fond, ouvre la porte.
J’obtempère, toujours aussi muette.
— Retourne-toi. Reste dans l’encadrement de la porte et enlève ton imper.
Je pose tout ce que j’ai dans les bras par terre, et mon imper par-dessus.
— Marion, va lui remonter la jupe !
— Et si quelqu’un rentre ?
— Y a plus personne à cette heure-là ; on est vendredi, t’oublies ?
— T’as raison.
Marion s’approche de moi, hésite un peu, mais devant mon manque de réaction ses mains attrapent ma jupe. Sentant sa copine douter, Suzie dit :
— N’aie pas peur, elle n’attend que ça ; n’est-ce pas ?
— …
— Je veux t’entendre le dire !
— Oui…
Rassurée, Marion soulève ma jupe ; elle glisse doucement le long de mes cuisses, mon entrejambe commence à être visible.
— C’est bon, arrête-toi là. Allez, la vieille cochonne, écarte tes jambes !
J’écarte mes pieds assez largement en obéissant au mouvement de ses mains qui se sont activées car ma première position n’était pas à son goût. Ma jupe glisse encore un peu plus vers le haut.
— Écarte-lui son haut, qu’on voie mieux ses gros nichons.
Marion fait tomber le boléro de mes épaules, me regarde un moment puis, d’un geste vif, agrippe mon bustier par son milieu et le tire d’un coup sec vers le bas.
— Elle est beaucoup mieux comme ça, dit Marion en riant.
— Hé, c’est moi qui donne les ordres ici, mais c’est vrai que tu as raison : regarde la paire de miches qu’elle se paye ! Mate les tétons… Jamais vu d’aussi énormes !
Ma poitrine a jailli par-dessus le vêtement, mes bouts dressés vers le haut sous excitation, mes larges aréoles brun sang faisant encore plus ressortir la blancheur laiteuse de mes seins.
— Passe ta main sur sa chatte.
Marion glisse sa main entre mes cuisses ; le premier contact de sa main sur les lèvres de mon sexe me fait lâcher un petit cri et me laisse la bouche ouverte et les yeux mi-clos. Marion laisse aller sa main sur ma culotte ; la dentelle est tellement fine que je sens la pression de ses doigts comme si rien ne les séparait de mon sexe. Je gémis encore deux ou trois fois, à chaque mouvement. Marion retire sa main et l’exhibe sous mon nez : elle est couverte de mon humidité. Elle la montre ensuite à Suzie.
— R’garde comme elle mouille.
— C’est comme ça, les vieilles cochonnes : ça mouille à profusion.
Plus les mots gras fusent, plus mon sexe dégouline, plus je sens mes lèvres se gonfler et s’ouvrir.
— Passe ta main sous ton slip et masturbe-toi. Tu dois être une experte ? Les salopes, ça pense qu’à ça toute la journée : montrer leur chatte et se caresser.
— …
Suite à un signe de main, Marion revient se placer le long du mur derrière la porte, à côté de Suzie, pendant que ma main passe entre le boxer et mon ventre. Le geste finit de faire remonter ma jupe qui ne forme plus qu’un simple bandeau sur mes hanches arrondies.
— Mate-moi le petit bidon qu’elle se paye ! dit Suzie en rigolant.
Mon ventre a repoussé mon haut pour se glisser par-dessus la jupe et exhiber sa rondeur blanchâtre aux yeux des deux filles.
— C’est vrai que ça fait partie du charme, les rondeurs, poursuit Suzie en pinçant les fesses de sa copine.
— T’as vu les lèvres de sa chatte ? Mate ça… J’en ai jamais vu des aussi grosses ! s’exclame Marion.
— Ouais, mate comme elle est ouverte, comme une chienne en chaleur. Allez, enfonce-z-y tes doigts !
Je lâche un cri quand mes deux doigts me pénètrent ; un gémissement continu vient bientôt alors que mes doigts commencent un va-et-vient en profondeur.
— Tourne-toi et penche-toi : je veux voir ton gros cul pendant que tu te baises, dit Suzie, de plus ne plus hystérique. Allez, écarte plus tes jambes !
Je me suis retournée, la tête penchée au-dessus de la cuvette des toilettes, une main en appui dessus alors que l’autre continue à me pénétrer et me donner un immense plaisir, le cul tendu vers leurs regards.
— Écoute comme elle prend son pied…
Mes râles remplissent la pièce exiguë. Dans un état de semi-conscience, il me semble entendre la porte s’ouvrir, puis un certain silence et une voix forte que je ne connais que trop bien hurle :
— Mais ? Catherine, qu’est-ce que vous faite là ? Mais je rêve !
Je réalise que c’est la voix de la directrice qui rugit dans mon dos. Je me retourne, complètement paniquée en retirant la main de mon slip. La bouche ouverte, je la regarde, paralysée, sans pouvoir ni bouger ni prononcer la moindre parole. Elle me regarde des pieds à la tête, ses yeux s’arrêtant sur les parties les plus intimes de mon corps. Mes deux « tortionnaires » sont collées au mur et cachées par la large porte. Ses yeux vont et viennent plusieurs fois et elle lâche enfin :
— Suivez-moi dans mon bureau !
— Je… je sais pas ce qui m’a pris… Excusez-moi, je…
— Suivez-moi dans mon bureau, je vous dis !
Je me rhabille tant bien que mal, et plutôt mal que bien, ramasse mon fatras alors que la directrice est toujours plantée devant la porte qu’elle maintient ouverte. Je passe devant elle sans oser la regarder, la tête basse. Son bureau est un étage plus bas, au rez-de-chaussée. Le trajet se fait jusque-là dans un silence total. Une fois à l’intérieur, elle me dit :
— Avancez et posez vos affaires sur le bureau.
Je m’exécute en restant plantée entre les deux fauteuils placés là-devant, sans dire un mot. La directrice s’approche de moi, me tourne autour ; je peux sentir son parfum poivré tellement elle est proche de moi. Une fois de plus, elle passe dans mon dos ; mon boléro tombe de mes épaules, guidé par une poigne ferme. La directrice repasse devant moi. Je la regarde, les yeux agrandis par la surprise.
— Oh !
Je pousse un cri quand sa main attrape mon haut et, comme Marion, le tire d’un coup sec vers le bas. Son regard fixe mes seins toujours aussi gonflés par l’excitation, sa langue passe sur ses lèvres, ses yeux brillent d’un feu étrange. Je reste tétanisée par la surprise, la bouche ouverte, ne sachant que faire.
— Penchez-vous sur le fauteuil !
— Comment ? Que je…
— Allez, penchez-vous sur le dossier !
Sa main me pousse dans le dos jusqu’à ce que mon ventre repose sur le dossier du large fauteuil ; mes deux seins pendent dans le vide, mes tétons énormes dressés vers le plafond.
— Anne-Marie m’avait parlé de votre vice et de vos besoins charnels immodérés, mais je pensais quand même que vous sauriez restreindre vos pulsions chez moi.
— Je vous demande pardon, je sais pas ce qui m’a pris.
— J’ai bien vu que le besoin d’exhiber vos chairs reprenait le dessus ; chassez le naturel et il revient au galop, comme on dit.
— Pardon, je… j’ai honte…
— Pff, vous n’avez aucune honte : je les connais, les garces comme vous ! Tout est bon pour prendre son plaisir, peu importe où ni comment. Aucun respect pour rien, et surtout pas pour mon établissement.
Elle est passée dans mon dos ; je sens sa main passer sur mes fesses. Sa main palpe mon cul au travers de ma jupe qui le couvre à peine. D’un geste brusque, ma jupe n’est plus qu’un bout de tissu replié autour de ma taille.
— Tout est bon pour exhiber votre cul de diablesse ! Et faire tourner les têtes, n’est pas ?
— Je demande pardon, je ne le ferai plus.
Une claque magistrale tombe sur mon cul ; le bruit sec résonne sur les murs de la pièce.
— Mmmh…
— Oh que si ! Je connais les femmes comme vous : elles ne savent pas se contrôler et ne respectent rien, même pas un établissement réputé comme le mien.
— Je vais faire de mon mieux… Pardon, Madame la directrice.
Nul besoin d’être devin pour voir qu’Anne-Marie et la directrice ont les mêmes goûts pour la domination et qu’elle ne voit là qu’une bonne occasion de me transformer en son jouet.
— C’est pas tout de demander pardon, ma petite Catherine ; je sais ce dont vous avez besoin : d’une bonne correction pour être ramenée dans le droit chemin.
Elle saisit une large et grande règle d’au moins cinquante centimètres. Bizarrement, des images lointaines de mon maître d’école montrant des cartes ou le tableau me reviennent en mémoire. Peu après, elle est derrière moi. Sa main tire sur mon slip qu’elle descend jusqu’à mes chevilles ; mes pieds se lèvent et mon boxer disparaît dans ses mains. Il réapparaît peu après sous mon nez, accroché au bout de la règle. Elle me frotte le visage avec.
— Regardez comme il est trempé… Mais qu’est-ce que vous avez dans la tête pour vous mettre dans des états pareils ! C’est de donner des cours dans une tenue indécente qui vous fait cet effet ?
Je n’ai pas le temps de confirmer cette hypothèse ; j’entends comme un sifflement, et le bruit sec du plat de la règle s’abattant sur mes fesses cambrées retentit. Le plaisir qui s’ensuit est largement supérieur à la douleur pourtant probable. Sous le coup, ma tête se redresse et mes mains se crispent sur les accoudoirs. Mes yeux s’égarent sur une des fenêtres du bureau donnant sur un espace vert ; à travers la vitre, j’ai la surprise de voir deux visages bien connus : Suzie et Marion sont là, à espionner ce qui se passe. Le spectacle doit les ravir.
Nouveau sifflement, nouveau claquement sur mon cul, nouvelle onde de plaisir qui me traverse. Sous l’impulsion, mes seins ballottent sous moi. La règle, maniée d’une main de maître – ou plutôt de maîtresse – continue son œuvre ; mes gémissements de plaisir, et non de douleur, emplissent le bureau. Je sens le gras de mes fesses trembler sous la puissance des coups. Voir la tête des deux filles assistant à ma punition ne fait qu’exacerber ma jouissance. Le fruit de cette jouissance est en train de dégouliner le long de mes cuisses, mon sexe crachant mon jus intime à profusion.
— Voilà : vous êtes fin prête, maintenant.
Prête à quoi ? Deux mains s’emparent de mes fesses rebondies et les triturent sauvagement. Je sens alors une présence entre mes cuisses. Quelques secondes plus tard, ce que je reconnais comme une langue fouille mon sexe ; une bouche suce mes lèvres gonflées, les aspire. La langue s’enfonce en moi, se déchaîne sur mon clitoris.
Une jouissance totale me submerge, je hurle de plaisir à en perdre le souffle. Je m’écroule sur le dossier, haletante, les jambes coupées. Je repose là comme si j’étais une vulgaire nippe jetée sur ce fauteuil par une main inconnue.
— Relevez-vous.
Péniblement, je me redresse ; le plaisir passé, il ne me reste que des fesses cuisantes et un peu piquantes. La directrice est devant moi ; elle s’essuie le visage avec mon sous-vêtement. Je suis devant elle, la poitrine à l’air débordant par-dessus mon bustier, la jupe toujours enroulée autour de la taille et le sexe à nu. Se frottant toujours le visage, elle tend la main vers ma poitrine, s’empare d’un téton toujours aussi démesuré, le tire et le triture un bref instant.
Puis elle va vers son bureau, mon sous-vêtement en main, et me fixe un long moment. Je n’ose pas bouger ; elle prend son pied à me voir ainsi à moitié nue sous ses yeux, le visage encore déformé par le plaisir pris, soumise à ses désirs.
— Tout en vous respire le vice et la luxure… Revenez me voir vendredi prochain après le cours : je verrai si vous méritez une nouvelle punition, mais je connais déjà la réponse.
Disant cela, elle glisse mon slip dans un tiroir.
— Vous pouvez y aller et… rhabillez-vous un peu, même si je sais que ça ne vous dérangerait pas de vous montrer ainsi dans mon école.
— Bien, madame la directrice.
Je rends ma tenue plus correcte, même si un élément important se trouve dans le tiroir de la directrice, ramasse mes affaires et quitte le bureau.
Je sens que le patron va encore me faire des allusions douteuses, lundi ; les informations vont certainement circuler durant le week-end… Tant pis ! Après tout, il aurait été déçu si j’avais été un gentil professeur sans surprises.
Lorsque j’arrive à l’entrée du parking, Suzie et Marion sont là, au portail ; elles m’attendraient qu’elles ne feraient pas autrement. Je suis très lasse après cette entrevue imprévue avec la directrice, mais allez savoir ? Avec Suzie et Marion, je ne suis jamais au bout de mes surprises, et j’ai un long week-end devant moi.
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